NEWS Solaire

Masen (Morrocan Agency for Solar Energy), inaugure ce jeudi 9 juillet 2015, non pas un champ solaire, mais un espace d’incubation et de développement de projets touchant à l’énergie solaire.

La Banque Mondiale a approuvé un prêt de 150 millions de dollars pour financer le projet de modernisation de l’irrigation à grande échelle de l’agriculture...

Le Maroc a entrepris depuis le début de la décennie, d’importants chantiers énergétiques dits structurants, afin d’alléger sa dépendance aux importations énergétiques - lesquels couvrent 95% de ses besoins - et sécuriser ses approvisionnements électriques.

Au cours des années à venir, le pays doit voir fleurir fermes solaires et éoliennes, en différents points du territoire. Le Maroc s’est fixé pour objectif d’atteindre 42% de la puissance électrique installée à base d’énergie renouvelable, 2.000 MW pour l’éolien, 2.000 MW pour le solaire et 2.000 MW pour l’hydraulique. Le renouvelable représentera donc 6000 MW pour une capacité globale cumulée de 15.000 MW d’ici 2020.

Le groupe BMCE Bank vient d’obtenir un prêt de 20 millions euros de la part de 4 institutions financières européennes à des fins d’investissements dans...

20 millions d’euros pour l’énergie durable

L’efficacité énergétique ne cesse d’attiser les convoitises, notamment de l’Europe. L’intérêt porté à ce secteur est tel que les prêts de la part des institutions internationales ne cessent de se multiplier, et le dernier en date reste celui octroyé à BMCE Bank et sa filiale de leasing Maghrebail. Il s’agit d’un financement qui s’élève à 20 millions d’euros, accordé par la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement), l’Agence française de développement (AFD), la Banque européenne d’investissement (BEI) et la banque allemande KFW. Cette ligne de financement entre dans le cadre de la ligne marocaine de financement de l’énergie durable, soit le programme Morseff (Morocco Sustainable Energy Financial Facility).

L’Agence marocaine de l’énergie solaire (Masen) vient d’annoncer le lancement d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour la réalisation de la phase Noor PV I. Cet AMI se clôturera le 6 avril 2015 à 9 heures du matin. A noter que la phase Noor PV I comprendra la centrale Noor IV d’une capacité de 50 à 70 MW, située à Ouarzazate et pourrait également porter sur les projets Noor Laayoune et Noor Boujdour, d’une capacité autour de 50 MW chacune. «Les projets de cette phase devraient être développés «sous le schéma IPP (Independant Power Production) à travers un appel d’offres international portant sur la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance desdits projets», précise-t-on auprès de Masen. Il est à relever que dans le cadre du plan solaire Noor, le Maroc vise à développer des centrales solaires d’une capacité minimale de 2.000 MW d’ici 2020, équivalente à un taux de 14% de la capacité électrique totale installée, à travers un mix technologique répondant aux besoins du pays.

Les Emirats Arabes Unis vont réaliser en 2015 un projet d'électrification d'une partie parmi les plus reculées du monde rural marocain pour un investissement global de 100 millions de dollars. «Il s'agit de l'exécution d'un programme de systèmes solaires domestiques dans les régions enclavées et non reliées au réseau électrique national du Maroc», a précisé Ali Fassi Fihri, directeur général de l'ONEE. Le projet de coopération entre la société émiratie de l'énergie du futur "Masdar" et l'ONEE a été conclu lors de la visite officielle au Maroc qu'à entrepris sur invitation du roi Mohammed VI le prince héritier des Emirats, Cheikh Mohammed Ben Zayed Al-Nahayane. A cette occasion, les deux pays ont signé pas moins de 21 accords couvrant de nombreux domaines de coopération.

Bouffée d’oxygène pour le secteur des énergies renouvelables et photovoltaïques. Ce secteur, qui a commencé à monter en puissance il y a quelques années de cela, fait aujourd'hui l’objet d’investissements. C’est d’ailleurs le cas des grands groupes tels que FinanceCom, Akwa Group et Sofinam, qui ont conclu un accord de partenariat pour créer une joint-venture, l’alliance Green Of Africa. Ce partenariat tripartite a été paraphé en présence du ministre de l’Énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement, Abdelkader Amara et des présidents des trois entités concernées. Il s’agit d’un partenariat stratégique qui vise à rallier la mission de diversification du bouquet énergétique, conformément à la stratégie nationale du pays. En effet, à l’horizon 2020, le Plan de développement des énergies renouvelables ambitionne de réaliser un objectif de 4 gigawatt de puissance installée en énergies éolienne et solaire.

La semaine prochaine, le Maroc recevra une délégation importante composée d’une dizaine de sociétés américaines, tel que First Solar ou encore SolaraEnergy Groupet General Electric, et ce dans l’optique d’accomplir une mission commerciale dans le domaine de l’énergie solaire au Maroc. Maghreb Confidentiel explique que Ken Hyatt, le sous-secrétaire américain pour le commerce international a pour projet de mener une opération commerciale dans le Royaume. Ainsi, les 3 et 5 décembre, cette délégation se réunira afin de discuter des prochaines tranches du programme solaire qui mobilise près de 9 milliards de dollars en termes d’investissement.

Lord Sharman of Redlynch, envoyé spécial du Premier ministre britannique pour le commerce chargé du Maroc, est attendu lundi au Maroc pour une visite de travail à la tête d’une délégation d’entreprises et d’experts spécialistes des énergies renouvelables et alternatives. L’Ambassadeur britannique au Maroc Clive Alderton a indiqué dans un communiqué cité par Le360 que cette visite survient deux semaines après l’organisation d’une importante rencontre maroco-britannique sur les services financiers dans la City de Londres, un évènement qui avait attiré plus de 300 entreprises

Faute de financements, le lancement du programme marocain de pompage solaire tarde à se concrétiser, au grand dam des agriculteurs. Afin d’y remédier, les ministres concernés vont bientôt se réunir.

Le royaume lance un plan coordonné pour développer la production d’électricité à partir du photovoltaïque. Des centrales solaires seront construites, la moyenne et la basse tension seront ouvertes et l’Etat va soutenir l’essor de la filière.

Le cabinet de ressources humaines Diorh, en collaboration avec le cabinet international Mercer, a procédé hier, 25 septembre, à la réunion de restitution de la 18e édition de l’enquête de rémunération sur 120 échantillons d’entreprises dont 10% sont marocaines. On remarque que pour les quatre dernières années, le domaine de l'énergie est le secteur le mieux rémunérateur pour l’ensemble des classes hiérarchiques, suivi du secteur des services de vie (pharmaceutique) et en dernière position du secteur automobile. Concernant le taux annuel moyen de l’évolution des salaires, d’après Diorh, le poste de directeur financier est en tête avec un taux de 8%, suivi de celui de directeur commercial avec 6% et finalement celui de directeur de qualité avec 5%. Sur l’échantillon des entreprises étudiées, 96% d’entre elles affirment accorder des primes à leurs collaborateurs et 93% mettent à leur disposition des avantages sociaux.

Les contrats de financement de la station thermique de Safi ont été signés hier à Rabat en présence du chef de gouvernement. Avec 2,6 MM de dollars (23 MMDH), cette nouvelle structure de production de l’électricité pulvérise tous les records. Interrogé à l’entrée de la cérémonie de signature, Ali Fassi Fihri soutient qu’il s’agit du plus grand investissement étranger au Maroc dans le secteur et l’une des plus grandes stations de par le monde avec une capacité de 1.386 mégawatts. La production démarrera en 2018. La satisfaction de 25% de la demande nationale en électricité est visée. C’est un projet de la nouvelle génération respectueux de l’environnement grâce au charbon propre.

La nouvelle centrale au charbon propre construite par Safiec a réuni son tour de table. La coopération japonaise joue un rôle important, aux côté des banques nationales et internationales, et des institutions financières. Elle produira 25% de la demande nationale.

Les travaux de la centrale thermique de Safi devraient bientôt être lancés, après le bouclage du financement de la plus grande centrale électrique du pays pour quelque 23 milliards DH (2,6 milliards de dollars).

Le financement avait pris du retard depuis que l’appel d’offres international avait été remporté par un consortium constitué de trois opérateurs, marocain, français et japonais. La société marocaine Nareva Holding, filiale du Groupe SNI, la française International Power (Goupe GDF Suez) et la société japonaise Mitsui ont constitué la SAFIEC. C’est Safi Energy Company qui a conclu le contrat de concession avec l’ONEE, l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable.

Le nombre de banques et d’investisseurs internationaux participant au projet explique en grande partie le retard pris depuis la signature de l’accord de concession en août 2013. Le ministre de l’Energie Abdelkader Amara, s’est toutefois réjoui de cet aboutissement. « Il s’agit de l’investissement étranger le plus important du genre au Maroc. Cela confirme la confiance des investisseurs internationaux dans l’économie nationale».

L'économie et l'industrie marocaines continuent d'attirer les investisseurs. Les investissements directs étrangers (IDE) au Maroc ont atteint 3,36 milliards de dollars en 2013 ... lire la suite

Dépourvu de gaz et de pétrole, le Maroc importe plus de 90% de son énergie. Mais aujourd'hui ... lire la suite

Le chef de gouvernement vient d’approuver la nouvelle structure du département chargé de l’Énergie, des mines, de l'eau et de l'environnement. Les changements introduits s’inspirent des recommandations contenues dans les rapports de l’Inspection générale des finances réalisés portant sur l’absence de cadre réglementaire des services centraux ainsi que l’imbrication de leurs missions. Parmi les nouveautés du nouvel organigramme figurent l’intégration de la direction de la géologie au sein du ministère et la mise en valeur des services qui s’occupent des énergies renouvelables.

Driss Zouaoui, vice-président de la Fédération nationale de l’électricité, de l’électronique et des énergies renouvelables (Fenelec), explique à Médias 24 les attentes du secteur en matière de compensation industrielle.

La BM alloue 100 millions $ au parc solaire de Ouarzazate

La Société Financière immobilière (SFI), filiale de la Banque Mondiale a accordé un financement de 100 millions de dollars pour la construction de Noor I, la première station thermo-solaire du parc d’Ouarzazate. Le chantier lancé en 2013, est celui de l’une des plus grandes stations au monde, elle devrait être opérationnelle à partir d’aout 2015.
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Meridiam finance un projet EnR

Un important projet de production d’électricité renouvelable sera financé par le fonds d’investissement spécialisé dans les infrastructures publiques Meridiam. Le projet a pour but de renforcer l’indépendance énergétique du Maroc. L’agence en charge du programme solaire MASEN et l’Office national de l’eau et l’électricité (ONEE) figureront parmi les interlocuteurs de Meridiam. Le fonds démontre ainsi sa détermination à nouer des partenariats avec des groupes industriels actifs au Maroc pour les accompagner et co-développer avec eux des opportunités d'investissements.

Projets d’investissement: les compétences des walis s’élargissent :

Le Maroc prend une longueur d’avance dans le secteur de l’énergie solaire

Le Maroc est en passe de devenir un acteur de référence dans l’exploitation et l’utilisation des énergies propres, grâce notamment au projet phare de la station solaire d’Ouarzazate ‘’Noor 1’’. Première du genre au monde en termes de capacité de production (160 MW), la future centrale (7 milliards de dirhams) fournira les premiers kwh en août 2015 et permettra la promotion de l'industrie locale, l'acquisition d'une expertise de haut niveau en la matière, le développement intégré de la région d'implantation, ainsi que la production d'une énergie électrique propre et renouvelable. S 'étendant sur 3.000 hectares, le Complexe solaire "Noor", qui devra atteindre à terme une capacité de production globale de 500 MW, illustre la volonté royale d'optimiser l'exploitation des ressources naturelles du Maroc, de préserver son environnement, de pérenniser son développement économique et social, et d'assurer l'avenir des générations futures.
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La filière solaire aura son annuaire

C’est ce vendredi que la Moroccan Agency for Solar Energy (MASEN) et la coopération allemande pour le développement durable (GIZ) comptent lancer dans le chef-lieu du Souss le projet «Cartographie des entreprises nationales ayant un potentiel dans les technologies solaires». La 1re phase de ce projet permettra l’identification des entreprises dans les secteurs de l’industrie métallique et métallurgique (IMME), électrique et électronique (IEE) et de l’industrie plasturgique (IP). La seconde phase aura pour sa part le rôle de répertorier les entreprises selon leurs potentiels pour le renforcement de l’offre locale dans le domaine des technologies solaires. Quant à la dernière phase, elle sera consacrée à la constitution d’un annuaire des entreprises marocaines pouvant délivrer des produits ou services dans l’industrie solaire.

R&D énergie verte : le Maroc se veut un hub régional:

La recherche et développement en énergie renouvelable et ses utilisations semblent entamer un tournant décisif au Maroc. Les appels à projets se multiplient et les dernières concrétisations ont concerné 9 projets InnoPV et Innowind, pour un montant de 33 MDH. Cela permettra à 9 consortiums, 38 institutions de recherche et 16 entreprises marocaines et étrangères de concrétiser des projets innovants favorisant l’émergence de métiers à forte valeur ajoutée. L’Institut de recherche en énergie solaire et en énergies nouvelles (Iresen) s’érige en pièce maîtresse dans cette politique, en mutualisant les moyens financiers et humains.

pour plus d'info, consultez:
http://www.leseco.ma/images/stories/892/special-energie.pdf

Un programme national pour le photovoltaïque début 2014

Le département d’Abdelkader Amara s’apprête à finaliser un nouveau cadre légal qui sera issu du premier programme national pour le développement de l'usage du photovoltaïque, lequel est considéré comme un excellent filon d’énergie renouvelable. Les données du secteur montre que 166.000 m2 sont équipés via ce mode de production d’énergie qui bénéficiera d’une baisse de la TVA pour l’import des équipements à partir de l'année 2014.

http://www.leseco.ma/dernieres-minute/15929-un-programme-national-pour-le-photovoltaique-debut-2014#.UoNqpVXLT3g

Pas de nucléaire au Maghreb : du photovoltaïque

A consulter : Pas de nucléaire au Maghreb : du photovoltaïque ou lire le fichier pdf

Le pompage solaire et la politique agricole verte: ça bouge enfin.

Dans le cadre de la Politique Agricole Verte, les agriculteurs vont pouvoir bénéficier de facilités pour s’équiper de pompes fonctionnant à l’électricité photovoltaïque (PV).

l’Aderee et le Crédit agricole ont signé une Convention au SIAM, pour le développement du pompage solaire lors

des Assises de l’agriculture tenues à Meknès le 23 avril.

Cette Convention, mobilise 400 millions de dirhams pour permettre aux agriculteurs de s’équiper en pompes solaires.

Cette technique présente un avantage économique décisif pour les exploitants agricoles qui réaliseront ainsi une économie importante d’électricité, de fuel ou de gaz.

L’irrigation devient donc moins coûteuse et s’inscrit durablement dans le cadre de la Politique Nationale d’Efficacité Energétique, qui prévoit 12% d »économie à l’horizon 2020

D’autant plus que le Maroc jouit d’un gisement solaire considérable avec plus de 3000 heures par an d’ensoleillement avec une irradiation de près 5 kWh/m2/jour. Il faut en profiter et c’est gratuit.

La pompe solaire, facteur de développement économique et social:

Avec l’accroissement démographique, le nombre de villages de plus de 1000 habitants s’est développé rapidement. Le pompage photovoltaïque permettan d’obtenir des débits importants, apparaît comme une option à moindre coût si l’on compare les charges d’investissement et de fonctionnement pendant toute la durée de vie des installations. Le pompage solaire trouve son domaine de viabilité économique. Certaines pompes solaires permettent de puiser jusqu’à 100 m2 par jour à des profondeurs de 90m. Lorsque les débits sont plus importants, il vaut mieux choisir une station de pompage à groupe électrogène.

L’électricité photovoltaïque, simple et viable.

Pour convertir directement la lumière en énergie électrique, on utilise une cellule photovoltaïque qui fait appel aux propriétés des matériaux semi-conducteurs.

Exposée à un flux de photons (lumière), une cellule peut être considérée comme une source de courant variable et de tension fixe. Les cellules sont connectées électriquement et assemblées en module pour constituer un produit résistant, hermétique et de tension conventionnelle.

Pour obtenir la puissance nécessaire à une application, il faut monter en série ou en parallèle, plusieurs modules qui forment alors le générateur. La tension délivrée par ce dernier est transformée dans un onduleur. C’est alors que le générateur solaire photovoltaïque peut alimenter, par exemple, le moteur d’une pompe centrifuge immergée dans un forage. L’eau ainsi pompée est recueillie dans un réservoir pour être ensuite distribuée par gravité à une borne fontaine ou à un abreuvoir.

Si l’équipement doit fonctionner pendant la nuit (éclairage, réfrigérateur,…), il est bien entendu nécessaire de stocker dans des batteries l’électricité produite pendant le jour.

Les nouvelles du solaire.... 2013 à 2015

Les chantiers de Masen d’ici 2020